Les religions n’ont pas de pouvoir de décision sur la vie politique : ce sont les citoyens, quelle que soit leur conviction, qui détiennent ce pouvoir, par le biais de leurs représentants élus. Par exemple, même si l’Église catholique qui n’est pas favorable au mariage pour les couples homosexuels a exprimé son désaccord envers la proposition de loi, une majorité des députés l’a adoptée en 2013.